Monsieur le Président, Je ne suis pas à vos côtés...
Une fois n'est pas coutume je vous laisse d'abord ouvrir ces trois images dans une nouvelle fenêtre afin de pouvoir les lire plus confortablement :



Que dire de plus ?
Ah si ! Deux ou trois choses quand même...
Déjà, à mon plus grand regret, je n'ai pas reçu personnellement cette lettre de Patrick Devedjian. Quel dommage ! Je l'aurais très volontiers renvoyé, en omettant bien sûr de l'affranchir et de glisser le chèque attendu.
En tout cas, j'apprécie vivement le geste de notre cher Secrétaire général délégué de l'UMP. C'est vrai quand même ! Vous connaissez beaucoup de personne dans votre entourage qui sont prêtes à rédiger A VOTRE PLACE votre lettre exprimant votre appui personnel ainsi que votre soutien sans faille à notre cher président et à son parti ? Bon, il faut apposer sa signature en bas de la missive, c'est quand même pas rien !
Et puis cette idée très écologique de demander notre contribution afin de pouvoir submerger la boite aux lettres de nos chers compatriotes avec une force de frappe encore plus importante... Il fallait oser !
Puisque Monsieur Devedjian semble si sûr que nous voudrons apporter notre contribution à cette démarche politique sans précédent, (encore heureux !), voici le geste que je m'apprête à accomplir si je reçois cette lettre, mais peut-être que vous qui lisez ces lignes l'avez déjà reçu...
Si je reçois cette lettre, je propose de renvoyer, comme demandé, le bulletin dans l'enveloppe réponse ci-jointe, sans l'affranchir, et, sans faire de don non plus.
En échange, vous pouvez garder votre "Bon de la construction d'une France nouvelle" édité à mon nom.
Pierre A.